
Mardi 31 août, le Raid a interpellé à Langres (Haute-Marne) un jeune Tchétchène de 17 ans, qui cherchait du renfort sur les réseaux sociaux afin de “mettre en œuvre un plan intelligent contre Mila”, confie une source proche du dossier. Malgré ses liens avec le Califat, il a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
Le jeune Tchétchène a un profil qui rappelle celui d’Abdullah Anzorov, l’assassin qui a décapité Samuel Paty. Arrivée en France en 2013, sa famille bénéficie aussi du statut de réfugiée politique. Le réfugié-djihadiste diffusait de la propagande en faveur de l’État Islamique (EI), et entretenait des relations avec des terroristes en zone irako-syrienne.
Lors de la perquisition au domicile familial, les policiers ont découvert des bijoux à l’effigie de l’EI et des ouvrages islamiques. Les enquêteurs se sont emparés de deux disques durs et trois téléphones portables qui ont été confiés aux techniciens de la police pour être exploités.
Placé en garde à vue à Reims, le djihadiste est resté mué face aux enquêteurs qui l’ont interrogé sur ses affinités djihadistes. Il a été mis en examen pour apologie du terrorisme, et remis en liberté sous contrôle judiciaire. “La justice vient d’inventer le passe terrorisme, ce pays est foutu, ça m’écœure.”, a réagi Mila à cette décision judiciaire.
La justice vient d’inventer le pass terrorisme, ce pays est foutu ça m’écœure. https://t.co/WFfNwMssPL
— Mila (@magicalorrs) September 5, 2021
Source: Actu 17
Le grand responsable de cette poussée de violence, de terrorisme c’est notre justice et son laxisme