
Après avoir obligé les Français à financer la contraception des mineures de moins de 15 ans, la ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal a annoncé ce mardi, que les protections pour les menstruations des étudiantes seront payées par les contribuables, sous prétexte que les jeunes ont peu de moyens.
“On vise 1500 distributeurs et une gratuité complète à la rentrée”, a osé la ministre. Or rien n’est gratuit. Au contraire, tout le monde est désormais condamné à payer la politique socialiste du gouvernement, qui a engendré la précarité des jeunes, et qui la subventionne désormais.
Les protections périodiques sont donc subventionnées au motif qu’elles constituent un impératif hygiénique pour les étudiantes. Mais alors pourquoi ne pas subventionner tout ce qui constitue un impératif hygiénique pour tous? Il faut subventionner le dentifrice, le gel douche, le shampoing, tout jusqu’aux rouleaux de papier toilette.
L’Etat maman qui va jusqu’à changer encore les couches d’une génération adulescente d’assistés, incapable de fournir les efforts nécessaires aux impératifs de la vie qu’ils ont choisie. S’il est vrai que le gouvernement est responsable de la situation précaire des jeunes, la solution n’est donc pas à plus de gouvernement, mais au contraire à son recul.
Saigner d’avantage les Français pour absorber le saignement menstruel des étudiantes n’est pas une solution, et va continuer d’entretenir la jeunesse dans l’illusion du socialisme, pourtant tâché du sang des innocents.
Source: AFP