
Ce lundi, Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, a annoncé une loi à la mi-mars similaire à l’Allemagne pour imposer des quotas des femmes dans les entreprises privées, les dispensant ainsi de travailler aussi dur que les hommes, enterrant la méritocratie, mais attisant surtout un conflit entre les hommes et les femmes.
Le ministre trouve “infiniment regrettable” qu’une seule femme dirige une entreprise du CAC 40, comme si le fait qu’aucune autre n’en ait été capable relevait d’une injustice dont les hommes étaient tous implicitement ou explicitement complices. Un délire conspirationniste qui constitue le mensonge fondateur du féminisme.
Bruno Le Maire s’est également indigné que les comités de direction ne comptent que 17% de femmes, mais en aucune façon, qu’on en compte encore moins chez les éboueurs, dans le BTP et autres métiers qui requièrent pourtant moins de qualifications que des postes de direction, ce qui n’intéresse en aucune façon les imposteurs de l’égalité entre les sexes.
Loin de souhaiter la parité entre les hommes et les femmes, le féminisme se révèle être en réalité un cache-sexe pour justifier une lutte de pouvoir, avec pour piliers: la victimisation des femmes, et son corollaire: la bouc-émissarisation des hommes.
Profitant de la force de l’État qui va les imposer au détriment des autres, les femmes n’ont donc plus besoin de travailler mais simplement de profiter du travail des autres. Une cigale qui ne s’embarrasse plus de demander à la fourmi le fruit de son labeur mais qui lui envoie les flics pour s’imposer directrice des travaux finis.
Au départ, le féminisme c’était des femmes qui se plaignaient de ne pas pouvoir travailler pour gagner leur place dans la société, et aujourd’hui: c’est des femmes qui se plaignent de devoir travailler pour la gagner. Cherchez l’erreur.
Source: AFP
Il suffira de savoir ce qu’entend Macron par femme, sachant que les extrémistes LGBT interdisent ce terme car trop genré ainsi que définir la “femme” comme une personne ayant des menstruations. Les transsexuels et autres barbus qui se sentent femmes peuvent enfin accéder à direction générale des entreprises sans passer par la case ” mérite”.. Le Progressisme vers l’abime …
[…] PJ parisienne et totalise 23 ans de service. Son profil était idéal pour donner satisfaction au diktat de la féminisation de ces […]
Remarquez que c’est le même raisonnement pour les Noirs, les Arabes, les homosexuels, et maintenant les transsexuels, etc…
Ou comment réussir dans la vie quand on est con, incompétent et surtout pleurnichard.
Vous avez raison, curieusement ils ne réclament jamais la parité dans les professions dévalorisées, seulement pour les postes où il y a du pognon à gagner.
[…] fera 10 ans demain que la loi Copé-Zimmermann, signée le 27 janvier 2011, impose déjà des quotas de femmes à la tête des entreprises françaises sans qu’elles aient à travailler autant que les hommes pour y arriver. La part des femmes […]
[…] Pourtant, comme le fait remarquer Agnès Pannier-Runacher, ce n’est pas faute de s’y être efforcé, notamment avec la loi Copé-Zimmermann votée en 2011, qui impose déjà 40% de femmes dans les conseils d’administration. Mais la Macronie tient absolument à décrocher la médaille de la lose et a annoncé aggraver cette injustice prochainement. […]