
Abdullah Anzorov, le Tchétchène musulman qui a tué et décapité le professeur de Conflans-Sainte-Honorine, s’est vu accorder généreusement par la République française le statut de réfugié, avec sa famille, après que l’asile lui a été refusé par la Pologne. Critiquées après la crise de Merkel de 2015 pour leur refus d'”accueillir les migrants”, la Pologne et la Hongrie protègent leurs peuples tandis que le gouvernement français a du sang sur les mains.
“La Pologne a refusé l’asile au Tchétchène (et à sa famille) qui a décapité Samuel Paty. Grace à sa politique tant décriée, la Pologne n’a pas connu d’attentats sur son sol, ses taux d’insécurité et de viols sont les plus bas d’Europe“, écrit sur Twitter Patrick Édery. “L’État protège avant tout ses citoyens.”
L’assaillant, Abdullah Anzorov, un Tchétchène de 18 ans de nationalité russe, résidant à Évreux dans l’Eure, a le statut de réfugié politique en France. Selon le Parquet national anti-terroriste, il a reçu, à sa majorité, le 4 mars 2020, une carte de séjour valable jusqu’en mars 2030.
Sa famille a quitté la Tchétchénie en août 2005 et a tenté d’obtenir un asile politique en Pologne, se disant persécutée par le gouvernement tchétchène pro-russe pour avoir hébergé des militants armés islamistes, en insurrection armée contre le pouvoir, suite à la seconde guerre de Tchétchénie.
Ce conflit armé qui opposa l’armée fédérale russe aux indépendantistes tchétchènes du 26 août 1999 au 6 février 2000, a engendré une guérilla séparatiste islamiste qui continua jusqu’en 2006, voire plus tard, principalement dans les montagnes, en menant un combat armé contre les Russes et le pouvoir tchétchène pro-russe avec l’idée d’établir un califat islamiste dans le Caucase.
Les autorités polonaises, pourtant sympathisantes de la cause de l’indépendance tchétchène, ont jugé que l’histoire racontée par les demandeurs d’asile ne justifiait pas de leur accorder un statut de réfugiés politiques. Abdullah Anzorov et sa famille sont donc rentrés chez eux, en 2007, avant de quitter le pays quelques mois après.
Pour la nouvelle destination et une nouvelle demande d’asile, ils ont choisi la France, un pays dirigé par des hommes politiques généreux qui distribuent l’asile et le statut de réfugié à tours de bras, pas trop regardants sur le bien-fondé de la chose.
Le futur meurtrier, Abdullah Anzorov, et sa famille ont été enregistrés par l’Opfra, puis ont obtenu le statut de réfugiés en mars 2011, après un premier refus en octobre 2010.
Ceux qui ont été refusés par la Pologne, ont été généreusement et imprudemment acceptés par la France. Résultat, un professeur a été décapité en banlieue de Paris, et non pas en banlieue de Varsovie.
🇵🇱🇫🇷La #Pologne a refusé l'asile au Tchétchène (et sa famille) qui a décapité #SamuelPaty ❗️
Grace à sa politique tant décriée la Pologne n'a pas connu d'attentats sur son sol, ses taux d'insécurité et de viols sont les plus bas d'Europe. L'Etat protège avant tout ses citoyens. pic.twitter.com/zPZyDUdPB3— Patrick Edery (@patrick_edery) October 17, 2020
[…] dit, le gouvernement, incapable de protéger les Français et les forçant à accueillir leurs bourreaux ne trouve rien de mieux à faire, après un attentat aussi choquant, que d’empêcher la […]
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[…] „Visegrad-Nationen“. Der Vater des Enthauptungs-Mörders von Paris suchte im Jahr 2005 für sich und seine Familie in Polen um Asyl an – und wurde 2007 in seine russiche Heimat zurückgeschickt. Der nächste Versuch führte die […]
[…] In his tweet, Patrick Edery comments: “Thanks to its highly criticized policy, Poland has not known any attacks on its territory, its insecurity and rape rates are the lowest in Europe. The state protects above all its citizens.” Edery’s has not been the only discordant voice in the French media. In FL24.net, Anne van Gelder has referred to this case and has denounced: “Criticized after t… […]
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