
Le mouvement d’émancipation des Noirs aux États-Unis est aussi vieux que la cohabitation des Blancs et de leurs esclaves dans ce pays. Ce fut longtemps un combat apolitique, mené par des esprits libres qui ne cherchaient pas à détruire le système politique américain, mais à imposer une évidence: la nécessaire égalité de tous les citoyens devant la Constitution américaine, devant les tribunaux, devant la police, devant la loi.
Puis, au milieu des années 60, naît le parti Black Panther, révolutionnaire, violent, qui va acquérir une puissance de feu considérable, au point de métamorphoser radicalement les relations entre Noirs et Blancs, en les politisant aux extrêmes.
Le parti Black Panther était un parti communiste, proche des maoïstes et de la Corée du Nord. Donc, un Parti communiste pur et dur, cherchant à détruire les piliers démocratiques, capitalistes et libéraux du système américain. Quand le mouvement a faibli, beaucoup de ses membres ont abandonné le communisme et épousé l’islam.
Que nous apprend cette généalogie du Black Panther sur les graves troubles en cours aux États-Unis? Une information essentielle: toute une partie du tsunami antiraciste en cours, la plus active, la plus dangereuse, la plus visible, est d’inspiration marxiste-léniniste, et idéologiquement proche de l’islam. Bien plus que contre le racisme, les émeutiers qui ont saccagé plus de 140 villes cette nuit luttent contre la liberté occidentale, exactement comme le firent les trotskistes et les anarchistes, en France, en mai 68.
Or, l’essentiel de la presse américaine est de gauche. Elle s’empresse donc de prendre la défense des émeutes antiracistes… mais sans préciser que le gros de la troupe des émeutiers est en réalité anti-américain, issu d’un mouvement qui préfère le totalitarisme maoïste et l’islamisme terroriste à l’american way of life.
D’où cette phrase terrible de Donald Trump, hier sur Twitter: “Les débiles des média mainstream font tout leur possible pour semer la haine et l’anarchie.” Exactement comme firent la plupart des intellectuels français en mai 68.
L’Amérique se débat contre un problème racial depuis toujours, mais elle s’en était accommodée, n’hésitant pas à élire des Noirs à des postes aussi prestigieux que la Cour Suprême, le haut commandement des armées et la présidence. Mais Donald Trump a un nouvel ennemi, l’extrémisme gauchiste des Black Panther, devenu celui de black blocs, de pillards et de rappeurs sous amphétamines.
On comprend mieux, alors, pourquoi Pékin et Téhéran soutiennent les émeutiers.
The Lamestream Media is doing everything within their power to foment hatred and anarchy. As long as everybody understands what they are doing, that they are FAKE NEWS and truly bad people with a sick agenda, we can easily work through them to GREATNESS!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) May 31, 2020
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Excellente analyse, Merci !
[…] activistes BLM ont déclenché des protestations, des émeutes et des pillages partout dans le pays. Les émeutes ont endommagé près de 1000 commerces rien […]