
FL24 a été le premier et le seul média français à s’intéresser à cette énigme. Et elle ressurgit soudain, à la faveur d’un passionnant et terrifiant article paru dans Challenges, écrit par un des journalistes les mieux renseignés sur le laboratoire de Wuhan. La question est donc: et si Jean-Pierre Raffarin était le grand coupable français dans l’apparition de la pandémie en cours?
Un dossier à examiner de très près, en espérant que nos services secrets enquêtent sur le cas des étranges chinoiseries de l’ex-Premier ministre.
Que dit Challenges? “C’est lors du premier semestre 2003, que la puissante Académie chinoise des Sciences fait savoir à Paris qu’elle souhaite acquérir un laboratoire Pathogènes de classe 4 (P4) qui peut héberger les virus les plus dangereux de la planète (Ebola, Coronavirus, H5N1…).
Il sert à traquer les souches infectieuses dans l’espoir de les combattre et protéger ainsi des dizaines de milliers de personnes à travers le monde. La France, qui a inauguré en 1999 à Lyon, le P4 Jean Mérieux, le plus grand d’Europe, fait partie des pays les plus en pointe sur le sujet. La demande de Pékin reçoit toutefois un accueil mitigé au sein de l’État français. Si Paris ne peut que soutenir la Chine dans sa volonté de lutter plus efficacement contre les pandémies, plusieurs questions se posent.
Alerté par ses services de renseignement, le pouvoir se demande si la technologie demandée par Pékin ne va pas être détournée pour mettre au point des armes bactériologiques. Ces craintes sont étayées par les soupçons très forts autour de l’existence d’un programme biologique offensif chinois.“
Et ça n’est pas fini. Accrochez-vous. “Malgré ces inquiétudes, la France va toutefois très vite donner des gages à son partenaire. Après une enquête minutieuse du Secrétariat général à la Défense (l’ex SGDSN), le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, qui s’était rendu en Chine en avril 2003 en pleine épidémie de SRAS, rend un arbitrage positif fin 2003.
La France aidera bien la Chine à construire son P4, mais suivant certaines conditions qui visent à garantir que Pékin n’utilisera pas ces futurs équipements à des fins offensives. Ainsi, le projet devra s’inscrire dans le cadre d’une coopération plus large destinée à lutter contre les maladies émergentes et remplir de nouvelles conditions liées à la sécurité biologique.
L’alliance est ensuite scellée lors de la visite de Jacques Chirac en Chine en octobre 2004. Il prend la forme d’un accord intergouvernemental sur les maladies émergentes, prévoit la construction du P4 ainsi qu’un programme de coopérations scientifiques sur le sujet entre les deux pays. Le texte provoque alors une certaine crispation au sein de l’administration française comme le confie Jean-Pierre Raffarin. “Il y a eu un accord politique, de chef d’État à chef d’État, mais derrière, l’administration a freiné des quatre fers”.
Ce qu’il faut comprendre ici, c’est que, pour une fois, l’État français a bien réagi: nos services secrets, connus pour leur extrême professionnalisme, ont tenté d’empêcher la participation française à P4 avant l’accord, et l’administration, connue pour sa capacité à s’entêter, a tout fait pour enterrer le processus après l’accord.
Mais Raffarin était à la manœuvre les deux fois, il avait tous les pouvoirs de Matignon, et il a atteint son objectif: impliquer la France, la République, et tous les contribuables français, dans la création du laboratoire dont, aujourd’hui, de plus en plus d’experts dans le monde s’accordent à dire qu’il est la vraie origine du coronavirus.
Ce laboratoire aurait-il existé sans la France? Rien ne permet de l’affirmer, puisque la Chine a tenu, de manière insistante, à bénéficier de l’aide française. Une aide de 5 millions d’euros officiellement, mais il y a peut-être un volet officieux à l’accord, et l’on aimerait que l’État français nous informe bien davantage sur cette affaire. Et il y a encore mieux: le laboratoire P4 a été construit par… une entreprise de bâtiment française. Alors, à quand une commission d’enquête digne de ce nom?
À ceux qui ont encore un doute, on recommande fortement la lecture de l’article ci-dessous…
Source: Challenges
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